" On allait souvent au cinéma. L'écran s'éclairait et on frémissait. Mais encore plus souvent on était déçus. On était tristes. Ce n'était pas le film dont nous avions rêvé. Ce n'était pas ce film total que chacun parmi nous portait en soi, ce film qu'on aurait voulu faire ou, plus secrètement sans doute, que nous aurions voulu vivre."
Cela sonne un peu preachey. Là n'est pas mon intention. Ce n'est qu'une réflexion.